LOTUS
SEPTEMBRE 2018
PYRÉNÉES
Dans l'Odyssée d'Homère, les Lotophages sont littéralement des « mangeurs de lotos ». Ces êtres ne vivent que de la cueillette des fruits de la nature.
Le Lotos est une plante qui a la capacité de faire perdre la mémoire : quiconque s'en nourrit oublie qui il est et d'où il vient.
Les éclaireurs qu'Ulysse envoie en reconnaissance après avoir abordé l'île apparemment hospitalière des Lotophages, en goûtant du lotos, oublient leur mission, leur identité et leur envie de retour : le héros d'Homère devra les ramener de force afin de pouvoir poursuivre son voyage vers Ithaque.

BELTHANE
SEPTEMBRE 2018
Pyrénées, France
Dans l'Odyssée d'Homère, les Lotophages sont littéralement des « mangeurs de lotos ». Ces êtres ne vivent que de la cueillette des fruits de la nature.
Le Lotos est une plante qui a la capacité de faire perdre la mémoire : quiconque s'en nourrit oublie qui il est et d'où il vient.
Les éclaireurs qu'Ulysse envoie en reconnaissance après avoir abordé l'île apparemment hospitalière des Lotophages, en goûtant du lotos, oublient leur mission, leur identité et leur envie de retour : le héros d'Homère devra les ramener de force afin de pouvoir poursuivre son voyage vers Ithaque.
LOTUS
SEPTEMBRE 2018
Pyrénées, France
Dans l'Odyssée d'Homère, les Lotophages sont littéralement des « mangeurs de lotos ». Ces êtres ne vivent que de la cueillette des fruits de la nature.
Le Lotos est une plante qui a la capacité de faire perdre la mémoire : quiconque s'en nourrit oublie qui il est et d'où il vient.
Les éclaireurs qu'Ulysse envoie en reconnaissance après avoir abordé l'île apparemment hospitalière des Lotophages, en goûtant du lotos, oublient leur mission, leur identité et leur envie de retour : le héros d'Homère devra les ramener de force afin de pouvoir poursuivre son voyage vers Ithaque.
2018
Exposition au Festival du film insolite de Rennes le Château.

PYTHAGORE
SEPTEMBRE 2018
PYRÉNÉES
SOLITUDE EN COMMUN
" (...) C'est comme si elle avait entendu le pas d'un cavalier dans la nuit, le cri d'un enfant nouveau-né, le choc des pierres et de la terre sur un cercueil.
Dans le tunnel bruyant des années, ce n'est que de loin en loin que l'on perçoit ces faibles rumeurs, fatales, irrévocables.
Elles surgissent comme des vagues qui se brisent sur quelque rive cachée ; mais aucun roulement de tonnerre ne saurait éveiller un écho aussi durable, aussi obsédant. (...) "

